Dans un contexte de baisse du pouvoir d’achat, 60% des Français estiment que les hausses de taxes sur les cigarettes incitent davantage les fumeurs à se tourner vers les marchés parallèles qu’à arrêter de fumer
Philip Morris France publie aujourd’hui une étude réalisée par l’IFOP sur un échantillon représentatif de 1000 personnes âgées de 18 ans et plus afin de faire un point d’avancée sur les connaissances et opinions des Français sur les solutions alternatives sans combustion à la cigarette et les politiques de santé publique. Les résultats mettent en avant, entre autres, le fait que pour 62% des Français ces alternatives sans combustion gagneraient à être mieux connues et que pour 59% des Français devraient être intégrées aux politiques de lutte contre le tabagisme. 60% d’entre eux considèrent également que la hausse des taxes sur la cigarette a pour principal effet l’explosion des marchés parallèles et non une baisse de la prévalence tabagique.
La cigarette électronique bien identifiée, comparée aux autres alternatives à nocivité réduite disponibles comme le tabac à chauffer
Un des enseignements clés de cette étude est la connaissance affirmée de la cigarette électronique par 85% des Français interrogés qui en ont déjà entendu parler et 75% qui voient précisément de quoi il s’agit. Près de 10% des Français indiquent en être par ailleurs consommateurs.
Les autres produits alternatifs sans combustion comme le tabac à chauffer ne bénéficient pas du même niveau de notoriété et sont moins bien identifiés par les fumeurs adultes français souhaitant stopper l’usage de la cigarette. Seulement 30% des Français en ont déjà entendu parler et 2% indiquent en être consommateurs. Pour Jeanne Pollès, Présidente de Philip Morris France, « les freins en matière d’information sur les alternatives sans combustion en général et le tabac à chauffer en particulier constituent une perte de chance pour les fumeurs adultes, d’autant plus qu’ils sont près de 60% à considérer que les alternatives devraient être un levier à part entière des politiques de santé publique, à l’image de ce qui est fait dans de nombreux pays en Europe et dans le monde. »
La hausse des taxes sur les paquets de cigarettes, perçue comme facteur de l’explosion du trafic illicite et de perte en pouvoir d’achat
La politique fiscale, qui constitue pourtant l’un des principaux axes de lutte contre la cigarette, est perçue comme peu efficace par les Français pour inciter les fumeurs à arrêter de fumer. En effet, seuls 19% d’entre eux estiment que celle-ci pousse les fumeurs à diminuer leur consommation de cigarettes quand ils sont 39% à considérer que ces hausses poussent les fumeurs à acheter leurs cigarettes sur les marchés parallèles. La hausse des taxes est d’ailleurs perçue comme étant la principale raison expliquant le développement des marchés parallèles aussi bien par l’ensemble des Français (59%) que par les seuls fumeurs (61%).
Comme pour confirmer ce sentiment, les résultats de l’étude donnent à voir l’ampleur de la consommation de cigarettes achetées hors du réseau traditionnel. 63% des fumeurs réguliers en ont déjà consommé dont 31% fréquemment. Des chiffres qui illustrent la banalisation de ces pratiques illicites.
Parallèlement, 54% des Français estiment que les hausses de taxes sur les produits du tabac incitent les fumeurs à réduire leur budget sur d’autres achats sans que cela ait d’effet sur leur consommation de cigarettes, alors que seulement 18% pensent que cela pousse les fumeurs à arrêter de fumer. « Nous observons d’année en année que les Français les moins aisés sont également ceux qui fument le plus, souligne Jeanne Pollès. Ce phénomène conjugué au fait que les hausses de taxes ont un effet relatif sur la prévalence tabagique confirme qu’il est temps désormais de proposer une autre approche. L’intégration des alternatives sans combustion et d’une stratégie de réduction des risques aux politiques de santé publique peut ouvrir une nouvelle voie et doit permettre ainsi d’agir pour accompagner les fumeurs sans peser plus encore sur leur pouvoir d’achat. »
Retrouvez l’intégralité de l’étude en cliquant sur ce lien de téléchargement
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Philip Morris International : un avenir sans fumée
Philip Morris International (PMI) a initié une transformation visant à créer un avenir sans fumée et, à terme, à remplacer les cigarettes par des produits sans fumée. PMI construit son avenir sur une nouvelle catégorie de produits sans fumée qui, même s'ils ne sont pas sans risque, constituent un meilleur choix que de continuer à fumer. Grâce à des capacités pluridisciplinaires dans le développement de produits, à des installations de pointe et une démarche scientifique, PMI vise à garantir que ses produits sans fumée répondent aux besoins des consommateurs adultes et aux exigences réglementaires rigoureuses. Le portefeuille de produits sans fumée de PMI comprend des produits de vaporisation sans combustion et contenant de la nicotine. En 2022, les produits sans fumée de PMI sont disponibles à la vente sur 71 marchés dans des villes clés ou à l'échelle nationale. Philip Morris International est la première multinationale à avoir obtenu la certification Equal-Salary sur un périmètre global comprenant plus de 90 pays, dont la France. En 2021, Philip Morris France SAS a par ailleurs obtenu la note de 92/100 à l’index égalité professionnelle femmes-hommes (données 2021).
Pour plus d'informations, veuillez consulter les sites www.pmi.com et www.pmiscience.com.
Le risque tabagique : rappel de deux fondamentaux
Le risque zéro dans la consommation de tabac ou de nicotine n’existe pas.
« Combustion »
Lorsqu’une cigarette est allumée, le tabac est brûlé à une température pouvant atteindre 900°C. C’est ce qu’on appelle la « combustion ». C’est le processus de combustion du tabac qui entraine la production de la majeure partie des substances chimiques nocives présentes dans la fumée de cigarette. Plus la température du tabac augmente, plus le taux de substances chimiques nocives libérées est élevé. En éliminant le processus de combustion, comme c’est le cas avec les alternatives sans combustion, donc sans fumée, telles que le tabac à chauffer ou la cigarette électronique, il est possible de réduire de manière significative les taux de substances chimiques nocives générés en comparaison avec ceux présents dans la fumée de cigarette.
« Nicotine »
La nicotine est naturellement présente dans le tabac. La nicotine est addictive et n’est pas sans risque, mais elle n’est pas la cause principale des maladies liées au tabagisme. Ce sont les autres substances chimiques présentes dans la fumée qui en sont responsables. Pour autant, les mineurs ne doivent pas utiliser, ni avoir accès à des produits à base de tabac ou de nicotine. Leur consommation est également déconseillée aux femmes enceintes ou allaitantes, ou aux personnes souffrant ou présentant un risque de maladies cardiaques, de diabète ou d’épilepsie.
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